Catégorie : Non Classé
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« Quand j’explique les dangers du web à des 14 à 16 ans, je suis étonné de voir qu’ils ne se sentent pas concernés »
Julien Moureau, responsable de l’Espace Public Numérique de Verviers
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« Il faut expliquer aux jeunes que la vie privée, cela se protège sur le web »
Véronique Veys de la bibliothèque d’Estaimpuis
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« On croit souvent que les jeunes sont par définition digital natives, mais ce n’est pas vrai »
Maud De Craeye, Renaud Ziegler, Centre Culturel d’Evere L’Entrela’
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Que fait l’école pour les soi-disant «digital natives»?
Carte blanche parue le 25 août 2022 dans Le Soir.
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« On a un réel retard dans l’appropriation du numérique »
QUESTION – Digital Wallonia a réalisé son baromètre sur la maturité numérique en 2021 (*). Il y a encore un tiers des Wallonnes et des Wallons qui se disent éloignés du numérique. C’est énorme, non ? André Delacharlerie – Vous avez bien vu effectivement que tous les Wallons ne sont pas devenus numériques ! Le…
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« L’inclusion numérique, ce n’est pas avoir un ordinateur et un accès à Internet, c’est maîtriser la culture numérique »
Jean Deydier, fondateur de We Tech Care
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« Les jeunes sont numériquement habiles, mais pas plus que le citoyen lambda, ils ne comprennent l’environnement numérique »
Périne Brotcorne, chercheuse à l’UCLouvain
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« La fracture digitale touche tous les publics »
Mathieu Michel, secrétaire d’Etat à la digitalisation
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La Semaine Numérique 2022 : « e-maturité numérique: une question d’âge, vraiment ? »
On estime à 40% des Belges le taux de personnes « vulnérables » sur le numérique, c’est-à-dire n’ayant pas ou peu de compétences numériques. C’est évidemment énorme et interpellant, d’autant plus qu’aucune catégorie d’âge n’est épargnée. En effet, Eurostat place la Belgique dans les pays ayant la plus grande part d’illectronisme chez les 16-29 ans,…
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Pascal Minotte : « On ne peut pas réduire l’usage excessif du digital à une notion de temps »
Pascal Minotte est co-directeur du CRESAM (Centre de référence en Santé Mentale) : pour lui, la notion de durée n’est pas le bon critère pour juger d’un usage excessif du digital, notamment des jeux vidéo.